All Posts By: Cynthia Béké

Se réaliser pour pouvoir se poser un jour

La vie est de plus en plus, une course. On se cherche, on veut réaliser des choses, se réaliser, construire, se poser. Il faut courir ; pas sur un terrain parce que ça ne servirait à rien à moins de remporter une médaille. Il faut surtout courir après un terrain. C’est le lot de plusieurs jeunes entre 30 et 50 ans, en couple ou pas. C’est surtout un challenge pour les femmes qui ont tout à prouver dans cette course.

Femme, épouse, maman, apprentie, photographe… Adja Welgo est plusieurs femmes en une.

Quand elle n’est pas en train de travailler, on la trouve au quartier Berlin. Ce n’est pas en Allemagne, c’est plutôt dans la commune de Bingerville en Côte d’Ivoire que réside Adjara Welgo avec sa petite famille. C’est une jeune femme noire, au regard vif et à l’âme généreuse. Elle est photographe et rêve d’aller le plus loin possible dans son métier. D’ailleurs, c’est le fait de la voir au travail, portant son bébé au dos qui fascine.

Madame Yohou. Profession : planteur

A quelques encablures de Kpada, village situé à 15 km de Soubré au sud-ouest de la Côte d’Ivoire, on rencontre le couple Zekeu Charles et Lydia Yohou Rose. Dans cette zone de production de palmier à huile et de cacao, le couple cultive un peu de cacao, de café, de palmier, d’hévéa. C’est de cette activité qu’ils tirent leurs revenus.

Trouver sa voie et bâtir son histoire

Bernice Raouto est une jeune femme sympathique et un peu timide qui vit à Port-Gentil au Gabon. Elle travaille comme assistante commerciale dans une entreprise du pays. Cette gabonaise fiancée et maman de 2 enfants, est à la tête de deux activités en plus de son emploi. Cette ambition est le fruit de l’activité économique au ralenti de son pays rend inventif selon elle.

Sarah Tia Mela : Sa vision de la vie

Sarah est une jeune femme de 25 ans qui affiche une bonne humeur et un sourire permanent. Étudiante en 5è année d’expertise comptable, Alumni YALI Dakar 2019, elle s’est lancée dans une aventure entrepreneuriale. Depuis quelques mois, elle poursuit deux activités. Ses études et son business sans que l’un empiète sur l’autre : sans anicroche. C’est avec une grande détermination qu’elle dit y arriver.

La bataille Écologique ne fait que commencer : le mot d’ordre d’Edith Kouassi

C’est une inconnue en 2015, seulement étudiante en Géographie option environnement. Cette année-là, candidate malheureuse à l’oral d’un concours décisif, 2016 créatrice d’accessoires de mode et d’objets de décoration, 2017, participante au programme PRODIJE de la CGECI, 2018, finaliste de la CGECI Academy avec le recyclage des bouteilles. Découvrons Edith Kouassi, fondatrice de ECOPLAST INNOV, militante pour l’environnement, lauréate d’un award pour l’année 2019.

Marilyse Gouaméné. Ses challenges la boostent très loin.

Nous avons rencontré Marilyse Audrey, jeune étudiante ivoirienne, entrepreneure. À peine sortie de l’adolescence, elle se lance dans l’entrepreneuriat et nous surprend par son parcours. Elle est passionnée beauté au point d’en faire un business et désire s’engager pour la justice sociale et la bonne gouvernance dans l’avenir. Marilyse a accepté de partager avec nous ses choix et ses rêves.

Tatiana SINSIN : Je serai propriétaire d’une chaîne de salons d’esthétique

La vie est faite de choix dit-on. Mais certains d’entre eux ne sont pas la résultante de nos rêves et aspirations. Il y a ce qu’on veut et ce que le destin nous impose. On le perçoit aux premiers abords comme une malchance puis quand vient la réussite, on réalise que ce n’était pas si dramatique. L’histoire de Tatiana SINSIN, en est la parfaite illustration.

Je cherche encore ma voie

Adjara fait partie de cette jeunesse ivoirienne qui se cherche. Aller à l’école comme on peut, jusqu’à là où on peut, en sortir diplômé pour certains, simplement instruit pour d’autres ou en être carrément exclu pour les moins chanceux. En sortir avec des rêves, des ambitions et se confronter à une réalité cruelle : Il n’y a pas de travail, il n’y a quasiment pas d’opportunités alléchantes.

Fatoumata Lankouandé, la maladie n’arrête pas ses rêves.

On ne choisit pas toujours les moindres détails de notre vie. Il y a ce qu’on désire et ce que la vie nous impose. C’est le cas pour Fatoumata, orpheline de père et de mère, partis trop tôt des suites de la drépanocytose. Cette maladie dont elle a hérité, n’est pas son seul combat. Il faut aussi se battre pour réussir sa vie, rendre sa famille fière et inspirer d’autres femmes.